mardi 16 décembre 2008

J'ai rendue mes archives lesbiens publics... parce que je l'avait caché.. mit aux oubliettes.. et puis maintenant, tous ça est passé.. tout ça m'a affaiblie et finalement changée, redonnée vie.. Je ne veux plus le garder secret parce que cette douleur est une partie de moi.. une corde sensible, mais vitale.. qui m'a fait grandir.
Je t'aime pinut.. jsuis enfin prête à tourner la page...
Désoler pour tout le temps que ça m'as prit..

mardi 22 mai 2007

Je le veux. Soit mienne.

vendredi 18 mai 2007

Tu es retournée à l'hôpital..
On à tellement tout bien gerer.. je suis fière de nous.. solides comme du roc.
J'ai lu ta merveilleuse lettre.. je l'ai lu en conduisant parce que je ne pouvais pas attendre.. tu l'a aspergée de parfum.. ton odeur.. je fond. J'en rêve.. j'ai hâte de te tenir dans mes bras.. tout ira mieux.. un autre pas de franchi..
Je le sens tu sais... toute cette passion douceureuse qui ne s'éteindra jamais..
Je me sens bien près de toi.. je me sens femme, je me sens vivre.. j'aimerai toujours vivre dans ta lumière..
Je le ferai, et tu vivra dans la mienne.. on ne fait pas que s'aider mon amour, on s'émerveille mutuellement, on se passionne... on s'aime tellement.. Je t'aime Julie.. je t'aime tant..
arrache-le ton bracelet d'hôpital... oui, balance-le à la poubelle d'un geste déterminé... ai confiance en toi.. est confiance en nous... si tu ne vois plus rien, si tu ne sais plus pourquoi continuer, penses à nous..
Ne l'oublie plus.. c'est ce qui m'a fait le plus mal... tu te turai?.. tu me laisserai?... tu me turai aussi tu sais.. j'en mourrais... je ne te survivrai pas... ça me serai impossible.. je t'aime.. ne dit plus jamais que tu veux mourrir... je t'aime.. tu ne peux pas vouloir mourrir alors que je t'aime à ce point.. c'est impensable.. c'est impossible... c'est inhumain..
Ne me laisse jamais... j'ai tellement peur. Promet-le moi. Je t'aime Julie... je ne peux peser mes mot plus que ça... tout est en moi.. tout grouille, tout s'active... tout n'est diriger que vers nous.. je t'aime.. ne me fait plus jamais peur... ça fait si mal... j'ai si peur quand tu me dit ces choses-là.. j'ai toujours si peur de te perdre.. Je t'aime... je t'aime, je t'aime, je t'aime.... aime-moi assez pour continuer de te battre toujours... pour ne jamais envisager de t'en aller... mon amour... je souhaite que tu sois heureuse.. toujours.. je souhaite que tu trouve comment te rendre heureuse comme tu me rends heureuse, moi. Je vais t'aimer tant que je vivrai.. j'irai te chercher peut importe où ta tête te mènera... je te tiendrai la main.. je t.embrasserai.. je te cajolerai, je te protègerai... je serai toujours a tes côtés... ai confiance... soit heureuse... je t'en suplie.. sois obtimiste.. trouve la touche de bien qu'il y a en toute chose... trouve toujours l'échapatoire qui te ramènera vers moi... laisse-moi toujours t'aider à la trouver... ne me laisse jamais.. ne part pas... ne me fait plus pleurer.. ne me brise plus le coeur.. ne pense plus jamais a mourir...ça me fait mal...
Tu sens bon... j'ai envie de te tenir dans mes bras pendant des heures... j'ai envie que tu t'y endorme... j'ai envie de pleurer de joie dans ta chaleur...
Rends-moi heureuse... soit heureuse.. je sais que tu y arrivera. Je t'aime.

mercredi 16 mai 2007

J'ai sauté les grands bouts où ça allait bien.. parce que je trouvais plus important de les vivres que de les écrires... mais je ne veux pas qu'ils tombent dans l'oubli, englouti par le faux malheur qui en fait n'est qu'un travail de bonheur.. tu accouches.. et qu'ils sont beaux nos enfants.
Je t'aime.
Les couchers de soleil... du plus haut édifice de la ville, d'une grande vitrine virtigineuse comme l'imensité qui m'habite.. le ciel, mon amour.
Les bisous dans le parc.. quand on a déranger un groupe d'ados en puberté.. hey oui, on est des jeunes plottes!
La crème glacé partout sur ta bouche.
Les promenades en auto.
Main dans la main. Un baisers. «Oups, un Monsieur!» hihi
Tes yeux des «Tu m'as apportée des fleurs?!!».
Le Hamac... le doux hamac.
Tous les beaux mots, les merveilleux regards...
Quand tu te fait belle pour moi... avec tes cheveux loussent, tes yeux maquillés de noirs.
Le dodo d'après-midi où je t'ai regarder dormir paisible tout le jour.
Les baisers encore plus bons avec leur rareté.. les bons baisers goûteux, vieilli, rafinés.. attendus et désirés si ardement.
Toutes les joies réconfortantes d'après l'inquiétude.. des bonheur si faible, faits d'à peu près rien.. mais si enlevant.. nous deux.. se contentant de peu.
et de beaucoup d'amour.
Ton rire, ta voix.
Mes grandes réussites sur moi-même. Tes grandes réussites sur toi-même.
Il y a eu ma foi qui revenue. La prière, la croyance du simple, du spirituel, l'abscence de logique, l'instinct, la confiance en le Tout. J'y ai parlée à ma grand-mère. Elle a compris, elle nous a aidée.
Il y a eu cette étoile fillante où j'ai demandé que tu sois heureuse.
Toi. Moi. Nous.
Je t'aime.. mais ça je sais que personne ne l'oublira.


vendredi 11 mai 2007

JE SOURIE MERDE! ON EST JAMAIS ARRIVÉE AU BOUT.. FAUT JUSTE SAVOIR GERER!
J'ai besoin de toi.. apprends-moi a vivre.
Ris un peu.. tout est trop cru.. tout me deonne des hauts-le-coeur, des excès d'angoisses..
Sérénité?.. comment?.. Où ça?..
J'essaye de m'écrire des choses encouragentes mais sa reviens toujours au même...
Je suis épuisée.. un corps en santé.. svp.. une nuit de 12h... un bon bout de temps plein de repos, de sommeil.. de premier degré.. sans soucis... sans responsabilité...
Des dodo pour moi toute seule... on va le prendre le temps ma belle...
Ait confiance, tout va bien.. je te jure, je m'occupe de toi... sourie maintenant...
se dit-elle à elle même.
Je ne t'écris plus aussi souvent..
j'ai même du mal à savoir où je me trouve.. je ne vois plus clair, je suis épuisée.. rancie. Gruger jusqu'à la moelle. Je suis au bout de tout, mais tout continue encore de rouler, de ronfler, de s'ébruitter.. J'ai toujours de la musique plein la tête, des silements dans mon silence, des tremblements dans mes membres, de la peur dans mon coeur. Je me sens malade.. je me sens trop.. trop réelle. Je n'arrive plus a étouffer.. je déborde. Je me sens mourante... mon corps va mal.. je ne suis même plus capable de penser à toi.. de porter ta bague. J'ai peine à me trainer toute seule.. se sont les pires moments de ma vie.. Julie je me sens pas bien.. je sais plus quoi faire... jveux dormir..

lundi 23 avril 2007


Tu nous manques à toutes les deux.